Une occasion pour l’auteur de partager son point de vue sur certains problèmes de société, tel la polygamie, les manquements du Code des personnes et de la famille togolais qui fragilisent la situation de la femme et des enfants. Parlant du thème principal de son œuvre à savoir l’exploitation des enfants, l’auteur est revenu sur les dangers de ce phénomène qui viole plusieurs droits humains fondamentaux sur son passage, tel le droit à la dignité, à la vie, à l’éducation, à la santé, à l’intégrité physique, etc. L’auteur affirme plus loin : « Quand on parle d’exploitation d’enfants, l’horreur qui me saute aux yeux, c’est qu’il n’est pas a priori le fait des politiques, mais de l’entourage familial des victimes. Raison pour laquelle je soutiens qu’à travers « Journal d’une Bonne », je ramène la question de la violation des droits humains au cœur de la cellule familiale. Imaginez que dans certains village de notre pays, certains parents ont échangé leur enfant contre une radio-cassette, parfois contre un vélo… »
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